En 2004, âgée de 91 ans, Dominique Rolin indique comme incontournable la lecture de As I Lay Dying de William Faulkner (1930). Le rapprochement entre Rolin et Faulkner est plutôt inédit. Cet article présente le rapport qu’entretient Dominique Rolin avec la littérature anglophone et avec l’école moderniste en particulier et questionne l’influence que Faulkner peut avoir eue sur l’écrivaine belgo-française. Un parallèle est ensuite établi entre As I Lay Dying et La Maison, la Forêt (1965), le roman qui marque la conversion définitive de Rolin à un nouveau modèle d’écriture, largement redevable de l’esthétique de Faulkner.
Gnocchi, M.C. (2015). Dominique Rolin et la "nécessité" de William Faulkner. FRANCOFONIA, 68, 83-106.
Dominique Rolin et la "nécessité" de William Faulkner
GNOCCHI, MARIA CHIARA
2015
Abstract
En 2004, âgée de 91 ans, Dominique Rolin indique comme incontournable la lecture de As I Lay Dying de William Faulkner (1930). Le rapprochement entre Rolin et Faulkner est plutôt inédit. Cet article présente le rapport qu’entretient Dominique Rolin avec la littérature anglophone et avec l’école moderniste en particulier et questionne l’influence que Faulkner peut avoir eue sur l’écrivaine belgo-française. Un parallèle est ensuite établi entre As I Lay Dying et La Maison, la Forêt (1965), le roman qui marque la conversion définitive de Rolin à un nouveau modèle d’écriture, largement redevable de l’esthétique de Faulkner.I documenti in IRIS sono protetti da copyright e tutti i diritti sono riservati, salvo diversa indicazione.